âge; 33 ans, dans la fleur de l'âge et ne s'est jamais senti aussi vivant qu'à présent. Il se sent pousser des ailes, le gamin !
date, lieu de naissance ; Il a vu le jour le 2 juin 1984 à New York, la ville qui ne dort jamais. Et ses parents non-plus n'ont pas dormi beaucoup, puisqu'ils avaient deux bébés à gérer, et pas du tout du genre à s'accorder pour dormir, si vous voyez ce que je veux dire.
nationalité, origines ; De ce qu'il sait, il est américain de pure souche et très fier de l'être. Il ne rate jamais un 4 juillet.
orientation sexuelle ; Les femmes, les femmes, les femmes. C'est indéniable, il n'est attiré que par les courbes de leurs corps voluptueux.
statut civil ; Fraichement fiancé, Luke est plutôt fier d'avoir passé le cap, c'est sur qu'on ne l'attendait pas là ! Surtout pas sa maitresse... le soeur de la future Madame Turner.
statut familial ; Luke est l'aîné d'une fratrie de six enfants. Mais il a ce manque, ce vide éternel en lui, cette moitié qui lui a été arrachée lorsqu'il avait onze ans, ce frère jumeau que la vie lui a arraché.
métier, études, statut financier ; Luke a fait ses études à New York et fini par deux années de stages, l'une à San Francisco et l'autre à Chicago, après quoi il a saisi une opportunité à Washington et a rejoint sa famille qui avait déménagé durant ces années. Il travaille pendant six ans dans une société d'architectes en plein essor. Depuis trois ans, il a monté sa propre société, la
Turner Loft Lux spécialisée dans la construction et l'aménagement de lofts de luxe. Il est le patron de cinq autres personnes.
caractère ;; indépendant, entreprenant, ambitieux, joueur, libre, charismatique, marrant, sociable, joyeux luron, menteur, intelligent, instinctif, épicurien, taquin, minutieux.
groupe ; retreat.
que recherchez-vous en amour ; De la stabilité, du réconfort, de l'écoute, de la douceur, des attentions particulières, une présence à l'épreuve des combats de la vie, et puis un torrent violent de sentiments, de la passion, de la dévotion, de la spontanéité et de la sincérité, de la tentation, de la séduction... pas facile de trouver un juste milieu.
votre rendez-vous idéal ; une sortie à deux pour aller assister à un match de football américain, en tout simplicité, sans devoir se mettre sur son trente-et-un, avec les vêtements de l'équipe favorite, simplement, manger des hot dog et boire du soda, s'exclamer à chaque point marqué, sentir les frissons du match, se prendre dans les bras parce qu'on est content pour l'équipe, ensuite faire une balade au parc, manger un bout dans un restaurant qui ne paye pas de mine de l'extérieur mais qui regorge de délices et de découvertes à faire. Un rendez-vous en toute simplicité, quoi.
que pensez-vous de l'amour à distance ; C'est tout simplement impensable pour moi, inimaginable, même. J'ai ce besoin de voir la personne que j'aime régulièrement, de la sentir près de moi, de l'enlacer, de l'embrasser sur la bouche, la joue, le nez, le front. J'ai besoin de ces contacts et de ces attentions.
votre repas préféré ; les pâtes bolo de ma grand-mère, un vrai régale !
the color of my broken heartGamin né et ayant grandi a New York, Luke a toujours eu cette âme d'enfant libre et vagabond. Il n'était pas rare de le voir chevaucher son vélo et parcourir les allées des parcs de la ville. (*) C'est un enfant qui a toujours suivi les règles, il était bien élevé et faisait bonne impression dans les familles. Il a peut-être fait une connerie un jour en taguant un mur dans Brooklyn mais c'était juste pour essayer, et il s'est pris une raclée quand ses parents l'ont appris. (*)
“C'est toujours moi qui dois aller chercher la balle, vas-y, toi !” avait-il lancé à Andrew, son frère jumeau. Cette fois-là, il avait mal réceptionnée la balle de baseball lancée par son acolyte et elle s'était retrouvée à la rue, derrière la clôture de leur jardin. Drew y est allé, trainant des pieds, mais il n'est jamais revenu. C'est devant les yeux effrayés de Luke qu'une voiture l'a fauché de plein fouet. (*) Depuis, c'est une douleur qui ne passe pas, un mal être profond, une plaie béante. Ce jour-là, on lui a enlevé son frère, sa moitié, une partie de lui. Ne reste que la douleur et ce sentiment d'injustice. S'il y était allé lui-même, cela ne serait pas arrivé à son frère, ni même peut-être à lui puisqu'il y serait passé un peu plus tôt, il aurait peut-être eu le temps de revenir. C'était il y a vingt-deux ans et pourtant la culpabilité le ronge jusqu'à la moelle. Peu de gens à DC savent d'ailleurs qu'il a un jour eu un frère jumeau. (*) Trois ans plus tard, ses parents lui annoncent qu'il va avoir un petit frère et... une petite soeur. Des jumeaux. La plaie sointe à nouveau, s'écorche un peu plus. Il passe des mois sans parler à ses parents et à la naissance des jumeaux, il refuse même de les regarder. Cela prendra du temps, des années pour qu'il leur adresse la parole, joue avec eux, les accepte tout simplement. Mais aujourd'hui encore, il n'a pas le même rapport avec eux qu'avec ses autres frères et soeurs. Une part de jalousie, certainement. Ils ont ce lien particulier qu'il avait avec Andrew, un sentiment puissant et inégalable, une chose qu'il ne connaitra plus jamais. Lorsqu'on parle "des jumeaux", on ne parle plus de lui, mais d'eux. (*) Luke a toujours été du genre focus et assez intelligent, que ce soit dans les situations de tous les jours ou sur les bancs de l'école. Il suit donc des études en architecture à New York et finit son cursus par deux années de stage, l'une à San Francisco et l'autre à Chicago. Les deux années les plus enrichissantes de sa vie. (*) C'est plein d'expériences et fort de ses apprentissages que le jeune homme débarque à Washington en 2008 en saisissant l'opportunité de travailler pour une grande entreprise, et rejoint par la même occasion sa famille qui y avait déménagé quelques années plus tôt. (*) Après six années de loyaux services, le jeune Turner décide pour ses trente ans de créer sa propre entreprise.
Turner Loft Lux voit alors le jour, une société spécialisée dans la construction et l'aménagement de lofts de luxe qui prospère depuis. Il en profite également pour améliorer ses connaissances en architecture d'intérieur. (*) Luke ne serait pas Luke sans sa bande de potes, une bande exclusivement faite de testostérone avec qui il partage des soirées poker, des soirs de match, des repas, des soirées déjantées, des barbecues etc. C'est le joyeux luron de la bande, certainement, le gars un peu lourd qui passe son temps à essayer de les convaincre de sortir, et qui y arrive. (*) Il est du genre sociable et arrive à discuter et rigoler avec n'importe qui ! Il est même parfois un peu trop à l'aise et familier, mais c'est Luke. Il ne se prend pas la tête, ni dans ses relations professionnelles où l'ambiance est bon enfant et familiale, ni dans ses relations privées. (*) Il habite bien évidemment dans un loft luxueux qu'il s'est construit sur mesure. Sur deux étages, donnant sur une énorme baie vitrée sur toute la hauteur après un salon aux hauts plafonds. La décoration y est plutôt moderne et nature. Des tons crème et taupe, rien de criard, et la chaleur du bois, encore et toujours. (*) Luke fait partie des rares hommes mordus de déco. Il ne passe pas deux semaines sans qu'il ne rapporte pas une nouvelle chose chez lui. Il est d'ailleurs plutôt fier de son mur façon patchwork de photos installées dans des cadres aussi divers les uns que les autres, rassemblant ses voyages, sa famille, ses amis et de beaux souvenirs. (*) Il y a un an et demi, il rencontre Nora Shelley, cet étoile tombée du ciel, certainement un ange déchu tellement elle est douce et apaisante. Un concours de circonstances assez fou et invraisemblable, mais la rencontre de ce visage lisse et serein, et puis ce sourire à faire fondre sur place. Luke a très vite su qu'elle était celle qu'il avait tant cherché, celle qui volerait son coeur et apaiserait son âme. Elle est l'une des rares personnes à pouvoir lui faire suivre le droit chemin. Beaucoup pensent que Nora a mis un lion en cage mais ce n'est pas du tout ce que ressent le jeune homme, loin de là. Il l'aime d'un amour profond, constant, vrai, unique en son genre, elle est la femme de sa vie, la future mère de ses enfants, il en est convaincu. Il lui a d'ailleurs fait sa demande il y a quelques semaines. Elle a dit oui, bien évidemment. (*) Mais quelques semaines après avoir officialisé leur relation, il a été présenté à sa famille, et c'est là qu'il a rencontré Clare. La météorite venue tout chambouler dans son ciel étoilé. Un volcan en constante irruption, un torrent de volupté auquel il tenta de résister, en vain. Il finit par céder et s'engouffre alors dans la course folle aux mensonges et à la tromperie. Sa relation avec Clare est tout le contraire de ce qu'elle est avec Nora. Elle est passion, dévotion, disputes, déchirements, vive, intense, inattendue, feu, braises, cendre, fureur et spontanéité. Elle est aussi complexe qu'elle n'y parait et elle aussi, il l'aime. Il l'aime d'un amour vrai, unique en son genre, et il ne pourrait vivre sans elle. (*) Sa double relation, sa double vie, est devenue une habitude lors de ces onze derniers mois. Il manie les mois, les semaines, les jours et les heures comme un maitre du temps, réservant des occasions pour l'une, et puis pour l'autre. C'est à la maitresse de se faire à ses disponibilités. Il voudrait tout arrêter mais il en est incapable. Il a besoin de l'une comme de l'autre. Il a besoin de la stabilité et de l'avenir d'une part, et de la passion et de l'instant présent de l'autre. Il est devenu la tromperie qu'il a engendrée, et la morale n'a plus sa place en son fort intérieur. Quand il est avec l'une, il ne pense pas à l'autre. Quand il est sans elles, il pense aux deux femmes de sa vie.
pseudo, prénom ; snowflakes, Aude.
âge, pays ; 24 ans, Belgique
votre avis sur le forum ; très prometteur !
type de personnage ; pré-lien de la belle Clare
petit mot de la fin ; no string allowed